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24 octobre 2019 4 24 /10 /octobre /2019 20:12
Myriam, une rose unique au monde

Quand, je traverse, tous les champs de roses de ce monde,

Ton caractère, unique, est mis en valeur.

Rayonne, un cœur, au tournesol de saveurs,

Que ton doux parfum, à mes narines inondent.

 

Toutes ces femmes, à la douce chevelure rousse,

Toutes ces chevelures, lisses ou bien bouclées,

Toutes ces femmes, qui sont ici, rassemblées.

Qui, part un trait, vers la tentation me pousse.

 

Elles ont toutes, cette lueur dans leurs regards,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, une chevelure, qui est rousse,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, la douceur de ta jolie peau,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, cette tendresse de tes lèvres,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, la rondeur de ton visage,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, un air de petite fille,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, un visage de paillettes dorées,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, le reflet de tes cheveux bouclées,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles conservent toutes un certain mystère,

Mais, ce n’est pas toi.

 

Elles ont toutes, un de tes traits de caractère,

Mais, ce n’est pas toi.

 

A la lumière, de ces semi-vérités,

Elles ne font pas le poids,

Car, en toi seule, figure cette vérité,

Toute entière, intègre et tellement unique.

 

Je m’agenouille, devant tant de perfection,

Face à une telle beauté de la création,

Je ne peux que prier le ciel,

Pour qu’elle m’emmène avec elle.

 

Je tourbillonne, en tournesol de saveurs,

M’entrainant dans les parfums de tes douceurs,

Pénétrant jusqu’au plus profond de mon être,

Mais, tous mes mots, ne pourrai suffire…

 

Emmène moi, ma bien aimée…

Auprès de toi, je veux être…

Vivre ta vie avec forces et faiblesses…

M’unir à toi, en une alliance nouvelle…

 

Te compléter avec mes propres forces et fragilités…

Pour toi, est fait mon cœur, pour t’aimer…             

 

L.C. le 23/10/2019

 

 

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24 octobre 2019 4 24 /10 /octobre /2019 20:07
Myriam

 

 

J’aime le feu dansant de tes cheveux,

Le regard de tes étoiles, pleins d’amour,

Vient remplir, réconforter et faire la joie de  mon âme.

 

Ta peau soyeuse et délicate vient mêler mon esprit au tient,

Dans le son du battement d’un même cœur, uni dans l’enlacement d’une proximité intemporelle.

 

Tous deux voyageant dans l’exaltation de deux papillons,

Valsant et dansant a n’en faire plus qu’un.

 

          L.C, le 17 Juillet 2019

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24 octobre 2019 4 24 /10 /octobre /2019 20:00
Myriam de toute beauté…

Myriam de toute beauté…

                                   

Myriam, je t’aime, chaque matin, quand tu te lèves,

Quand t’es pas habillée,

Quand t’es démaquillée,

Quand t’es pas réveillée,

 

Myriam, comme je t’aime, à chaque fois que je te  vois,

Quand t’es toute cernée,

Quand ta peau est ternée,

Quand tu t’es pas douché,

 

Myriam, comme je t’aime, à chaque fois que je te vois,

Rebelle en société,

Ni un objet sexué,

Ni esclavagisée,

 

Myriam, comme je t’aime, à chaque fois que je te vois,

A l’aise en amitié,

Forte, d’avoir travaillée,

D’avoir éduquée,

 

Myriam, je t’aime, le soir, quand tu te couches,

Tu es toute épuisée,

De tes combats menés,

Que tu as bien suée,

 

Et que tu trouves dans mes bras, la sécurité,

Tu t’endors dans mes bras avec sérénité.

 

L.C, le 17/09/2019

 

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24 octobre 2019 4 24 /10 /octobre /2019 19:53
Myriam, au pays des merveilles

 

Douce ondulation, dans un océan de feu,

L’auréole de tes cheveux autour de ton visage,

Descend en une sublime natte, ocre dorée ;

Caressant tes lèvres et ton si joli sourire.

 

 

Douce ondulation, à travers le souffle du vent,

Vient révéler les beautés cachées de ta peau,

Si douce, si lisse, souffle jusque dans tes interstices,

Pour révéler tes saveurs et ton doux parfum,

 

 

Douce ondulation, vibre à la surface des eaux,

A l’horizon, s’étendent les cercles de la vie,

Permet de nourrir, celle que tu portes en ton sein,

Par la profonde générosité de ton cœur,

 

 

Douce ondulation, venant soulever la  terre,

Je découvre, l’aventurière curieuse au grand cœur,

Indépendante, autonome, sachant ce qu’elle veut,

Elle est ce moteur, entrainant, puissant, vivant,

 

 

Douce ondulation, faisant palpiter mon cœur,

Femme parfaite incarnée, d’un rêve réalisé,

Elle est le sens qui manquait à mon existence,

Ma moitié que mon cœur à toujours recherché.

 


L.C, le 16/09/2019

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24 octobre 2019 4 24 /10 /octobre /2019 19:42
Ma  nacre en plume

Ma  nacre en plume,

 

Ma nacre en plume, elle m’émoustille,

Perle de plumage et je frétille,

De jolies ambrages aux passages,

Offre la beauté des paysages.

 

Ma nacre en plume, se dévoile,

Douce brise dans mes voiles en étoiles,

Souffle divin, vient m’enivrer,

Voix lactée qui veut libérer.

 

Ma nacre en plume, se révèle,

Douce étreinte, révèle sa part d’elle,

Enlacement, nos bras s’accueillent,

Découverte, présent que l’on cueille.

 

Ma nacre en plume s’émerveille,

Se libérant de sa merveille,

Par la surprise, être réuni,

Dans le souffle, léger de la vie.

 

L.C, le 26 Juillet 2019.

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17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 14:42
BRUNELLA ou le  mariage en miroir

Brunelle de mes yeux,

Amarre de mon cœur,

Tu  as quitté le port, me laissant toutes mes attaches,

J’attends la marée, à l’horizon, que tu fuis au loin,

Puis je, espérer, que tu reviennes au mât de ta décision ?

Décision à prendre à deux, que tu as prise, seule, dans ta solitude,

Dans la cabine étriquée de ta vie, la partageant avec un petit bonhomme que tu appel mari,

L’élevant au rôle de capitaine, le laissant diriger le bateau de ta vie,

Que peut un enfant de neuf ans, en expérience de navigation ?

Pourquoi avoir abandonné le capitaine, et ne  vous laisser aucune chance pour traverser la tempête ?

C’est dans le bateau de la désolation, que je m’en vais naviguer vers des eaux plus clémentes.

Madagascar cette ile, que je vois passer au loin.

 

L.C, le 17 Mars 2019

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2 février 2019 6 02 /02 /février /2019 10:51
AMERTUME

A toutes ces femmes, que j’ai aimées,

Que je n’arrive pas à oublier,

Faisant mal, à mon cœur, refusé,

Silences et jugements, m’ont fait céder.

 

Mon cœur ailé, peu à peu s’éloigne,

De vivant peu à peu dépérit,

Par faute, à un autre cœur être unit,

A celui d’un amour qui me soigne,

 

Que je puisse aimer, être aimé,

Sans barrières, contraintes, sans conditions,

Vivre l’amour à perpétuité,

Que mon cœur puisse remplir sa fonction,

 

Qu’un cœur, remplisse, cette place, laissée vide,

Qu’un cœur rebouche cette fuite de l’amour,

Que ce cœur, secours, un grand timide,

Pour que l’amertume, ne voile ce jour.

 

L.C, le 07/05/2017

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